Présentation de quelques cas

Le cabinet de sexologie à Paris centre (75010) vous présente quelques cas.

Cas récents (cliquer)

Cas numéro 1

Il y a quelque temps est arrivé au cabinet un jeune couple. Après deux ans de vie commune, le mariage n'est toujours pas consommé. Mauvaise volonté, manque d'expérience de l'épouse ? Pas du tout. Celle-ci était toute dévouée. Mais... elle n'y arrivait pas. Que faire ? Au sexologue de répondre.

 

Cas numéro 2

Gros problème d'attouchement ou d'auto-érotisme. L'homme avait commencé très tôt, dès l'âge de douze ans. A l'école en plein travail scolaire, les mains dans les poches, il se livrait à sa passion favorite. Aujourd'hui marié, père d'une petite fille, il n'a pas renoncé à ce type de fantasme. Puis un jour sa femme le surprend en train de visualiser sur Internet un film érotique tout en se touchant. Crosse colère de la jeune épouse qui se sent trahie. Problème de couple, mécompréhension, manque de communication... le couple est au bord de la rupture.

 

Cas numéro 3

L'éjaculation précoce est un problème courant. Les statistiques indiquent que entre 60 et 65 pour cent de jeunes français sont concernés par cette difficulté. Mais qu'en est-il d'un homme d'un quarantaine d'années, qui compte sur les doigts d'une seule main, le nombre de fois où il a pu tenir jusqu'à faire la pénétration. Marié,son épouse n'en pouvant, plus demande le divorce. Après nous avoir consulté et pris en charge dans notre cabinet, monsieur est aujourd'hui père de famille.

 

Cas numéro 4

Nous sommes en présence d'un jeune garçon entre dix-neuf et vingt ans, qui a eu son premier rapport sexuel dès l'âge de dix-sept ans. Depuis, il n'a cessé d'être en activité avec des femmes rencontrées ici et là. Or aujourd'hui, il est follement amoureux d'une nouvelle partenaire, ceci réciproquement. Pourtant mis en présence de celle-ci, il perd tellement ses moyens, que ses capacités érectiles sont totalement absentes. Ce qui ne s'était jamais produit auparavant. Malgré les caresses, le dévouement de sa copine, il reste impuissant. Trop d'amour tue l'amour : c'est le cas de le dire.

 

Cas numéro 5

Le préservatif c'est bien connu, sauve des vies, mais entrave souvent la fluidité des rapports. Voici un homme d'une trentaine d'années, qui lors des préliminaires est tout à fait opérationnel, son érection plafonne. Mais dès qu'il s'arrête pour mettre le préservatif, il y a détumescence. Impossible pour lui de repartir, quel que soit le mal que se donne sa partenaire. Or cette dernière ne veut ni prendre la pilule ni se faire mettre un stérilet. Je répète: la paralysie n'arrive qu'au moment d'enfiler le préservatif. Une fois atteint ce point, plus rien n'est possible.

 

Cas numéro 6

Une jeune femme d'une trentaine d'années passe son temps à courir après les garçons. Non pas pour s'amuser ou par goût d'aventures, mais parce qu'elle est à la recherche du grand Amour en majuscule. Et elle pense le trouver en se donnant sans discernement. Davantage encore, dès les premières minutes elle déverse sur son copain un flot de tendresse, de plaintes, de larmes, de supplications... afin naturellement de le retenir, afin d'obtenir son amour. Naturellement, c'est le contraire qui se produit. Le partenaire impuissant, désarmé devant l'empressement, l'envahissement, les complaintes de son amante n'a qu'une idée en tête fuir. Fuir le plus loin possible. Bref s'en débarrasser par tous les moyens. Ainsi ne pouvant conserver longtemps ses partenaires, la jeune femme est contrainte d'en changer fréquemment pour ne pas se retrouver seule.

 

Cas numéro 7

Un beau matin un homme de vingt-six ans se présente au cabinet, et me dit à brûle-pourpoint :"monsieur, ou vous me guérissez ou je me précipite dans la Seine." Pourquoi ? Parce que vivant avec sa mère en vase clos, celle-ci lui a mis le grappin dessus. Ladite maman a eu son poupon à l'âge de dix-neuf ans. Depuis, elle a fait une croix définitive sur les hommes, voire sur toutes relations sociales : pas d'amis, pas de connaissances... rien. Son fils est tout pour elle. Celui-ci vit cloîtré. Il a peur de la femme en général. Sa mère en dit pis que pendre. A son âge non seulement il est puceau, mais n'envisage nullement qu'une femme puisse poser la main sur lui. Il tomberait dans les pommes instantanément. Une fois, peu de temps avant de faire la démarche de venir consulter, une collègue de travail lui a fait un compliment sur son physique. Il a rougi, piqué une grosse colère intérieure. Et jamais plus n'a daigné adressé la parole à cette collègue. L'idée même de la croiser, lui était absolument insupportable. Si c'était possible, il aurait changé de Société.

 

Cas numéro 8

Une panne de la libido fort intéressante. Il s'agit d'un jeune couple sans enfants. Elle, hôtesse de l'air. Lui, informaticien. Ils vivent ensemble depuis trois ans. Jusqu'ici aucun problème. Vie régulière, stable. Mais petit à petit, elle en vient à espacer les rapports. Elle ne se donne plus, écarte la moindre tentative de rapprochement. L'aime-t-il encore, tient-elle encore à lui ? Apparemment oui. Le garçon moderne, vivant avec son temps, crut trouver une solution en lui conseillant de coucher avec quelqu'un d'autre. Peut-être dit-il, ça va débloquer la situation. Ce qu'elle a fait évidemment, pour voir, pour essayer. Avec l'autre cela ne fonctionne pas davantage. Très vite, elle fut à bout de souffle.

 

Cas numéro 9

Un jeune homme de dix-neuf ans souffre de panne d'érection. Celle-ci est radicale, c'est-à-dire qu'il n'est jamais capable d'une puissance quelconque dans n'importe quelle situation, y compris donc en se touchant. Il dit, dès les premières séances que toute sa vie, hier comme aujourd'hui, il est témoin des ébats de ses parents. Sa mère ou son père se promène nu allègrement dans l'appartement. Même dans la salle de bains, il n'a pas d'intimité. A tout moment sa mère peut entrer sous la douche et le voir nu. Bref, il constate lui-même que son corps ne lui appartient pas., Que ses parents continuent le considérer comme le petit garçon asexuel qu'il fut dans son enfance.

 

Cas numéro 10

Une femme mariée mère de deux jeunes enfants. Elle vit en couple avec son mari depuis une dizaine d'années. Après la naissance de son dernier garçon, elle n'éprouve plus aucune d'espèce d'envie pour son mari. Il la dégoûte. L'idée qu'il pourrait lui faire l'amour, la révulse à un point inimaginable. A-t-elle envie d'aller voir ailleurs ? Oui avoue-t-elle. Tenez, par exemple, le kiné qui la soigne pour un petit problème de dos. Elle lui a déjà fait des avances. Et votre mari ? Non. En revanche, il suffit qu'il y ait du monde à la maison, un dîner, un goûter... pour que brusquement ça lui prend. Alors oui, elle fait une concession en allant s'enfermer avec lui dans la salle de bains pendant que ses invités festoient dans la salle à manger.